En 2007, le chanteur et le styliste Christian Audigier posent pour présenter la ligne de vêtements «Smet». Crédits photo : Abaca Ces derniers mois, les hommes de l'ombre de Johnny Hallyday ont fait le ménage dans ses affaires. Transfert de société vers le Luxembourg, cessions, sociétés radiées… Le business du rockeur quitte peu à peu la France. Comme la Suisse, où il paie ses impôts, devient moins intéressante, il a la possibilité de devenir résident à Saint-Barth. Grâce à sa villa, il bénéficiera dans deux ans d'une exonération quasi totale d'impôts. Après avoir dépensé sans compter, il s'organise en effet pour laisser un patrimoine à ses deux filles et à Laeticia, avec qui il est marié sous le régime de la séparation de biens.
• La musique
Pour les tournées dont le chiffre d'affaires dépasse allègrement les 100 millions d'euros, Johnny Hallyday est associé à hauteur de 80 % avec Jean-Claude Camus. En 2006, le résultat «largement bénéficiaire» de la tournée Flashback a été placé dans Artistes et Promotion, une PME gérée par l'homme d'affaires Pierric Carbonneaux Le Perdriel et dont Johnny Hallyday est l'associé unique. Les années de concerts, la star caracole en tête du palmarès du Figaro des chanteurs les mieux payés.
Pour les albums, l'argent vient d'Universal, Warner, Sony et une société immatriculée au Luxembourg. Chez Warner, il a les avantages d'un artiste sans les inconvénients. Il chante de préférence les titres dont il est éditeur, aurait obtenu un minimum garanti de 3 millions d'euros, un million d'euros de cachet et 25 % de royalties par nouvel album. Un taux record accordé normalement aux stars qui financent elles-mêmes leurs albums comme Francis Cabrel. Universal, qui possède le trésor de guerre des droits de mille chansons de Johnny Hallyday (Que je t'aime, Ma gueule…), lui verse des royalties qui seraient au minimum de 7 % par an. Comme les compilations se vendent très bien, le chèque est conséquent. Enfin, Sony, qui possède des vieux titres tels que Souvenirs, souvenirs, lui verse aussi des royalties. Ayant compris sur le tard qu'il fallait être éditeur de ses chansons, Johnny Hallyday a créé en 2002 Pimiento Music (93 titres dont Marie mais sinon peu de tubes ). Gérée par Pierric Carbonneaux Le Perdriel, cette société rapporte à Johnny Hallyday une moyenne de 200 000 euros de dividendes par an. Elle a été transférée au Luxembourg en mai 2008 dans Nerthus Invest SA. Cette entité est administrée par Chantal Dubois et Guy Hornick. Pour auditer ses PME, Johnny Hallyday fait confiance à Olivier Belnet, installé à Marseille.
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Pour les tournées dont le chiffre d'affaires dépasse allègrement les 100 millions d'euros, Johnny Hallyday est associé à hauteur de 80 % avec Jean-Claude Camus. En 2006, le résultat «largement bénéficiaire» de la tournée Flashback a été placé dans Artistes et Promotion, une PME gérée par l'homme d'affaires Pierric Carbonneaux Le Perdriel et dont Johnny Hallyday est l'associé unique. Les années de concerts, la star caracole en tête du palmarès du Figaro des chanteurs les mieux payés.
Pour les albums, l'argent vient d'Universal, Warner, Sony et une société immatriculée au Luxembourg. Chez Warner, il a les avantages d'un artiste sans les inconvénients. Il chante de préférence les titres dont il est éditeur, aurait obtenu un minimum garanti de 3 millions d'euros, un million d'euros de cachet et 25 % de royalties par nouvel album. Un taux record accordé normalement aux stars qui financent elles-mêmes leurs albums comme Francis Cabrel. Universal, qui possède le trésor de guerre des droits de mille chansons de Johnny Hallyday (Que je t'aime, Ma gueule…), lui verse des royalties qui seraient au minimum de 7 % par an. Comme les compilations se vendent très bien, le chèque est conséquent. Enfin, Sony, qui possède des vieux titres tels que Souvenirs, souvenirs, lui verse aussi des royalties. Ayant compris sur le tard qu'il fallait être éditeur de ses chansons, Johnny Hallyday a créé en 2002 Pimiento Music (93 titres dont Marie mais sinon peu de tubes ). Gérée par Pierric Carbonneaux Le Perdriel, cette société rapporte à Johnny Hallyday une moyenne de 200 000 euros de dividendes par an. Elle a été transférée au Luxembourg en mai 2008 dans Nerthus Invest SA. Cette entité est administrée par Chantal Dubois et Guy Hornick. Pour auditer ses PME, Johnny Hallyday fait confiance à Olivier Belnet, installé à Marseille.
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