Johnny Hallyday n'est pas un mauvais payeur et tient à le faire savoir. Deux ans après avoir soulevé la polémique en choisissant de quitter pour raisons fiscales la France et de s'installer en Suisse, l'«Idole des Jeunes» a révélé le montant des impôts qu'il verse à la Confédération helvétique. Chaque année, le chanteur règle 607.000 euros d'impôts. «Je n'ai rien volé à personne en me soumettant à un régime existant», s'est-il défendu dans les colonnes du quotidien «Le Matin».
«Je suis d'accord de payer des impôts, mais il y a une limite. Avant, je versais plus de 70%. Avec ce que j'ai payé dans ma vie, j'aurais pu faire vivre plusieurs familles pendant des générations», a-t-il déploré dans une allusion à la fiscalité tricolore. A titre de comparaison, Johnny Hallyday bénéficie en Suisse, à condition d'y séjourner plus de six mois par an*, d'un «forfait fiscal», payé en lieu et place des impôts ordinaires sur le revenu et la fortune. Sous ce régime, le revenu imposable est égal, au minimum, au loyer annuel de la résidence, multipliée par cinq. L'impôt forfaitaire, dont s'acquittent les titulaires du forfait, atteint au moins un tiers de ce revenu. La situation familiale et le train de vie (jet privé, voitures de luxe, par exemple) entrent aussi en compte.
L'interprète de «Quelque chose de Tennessee», qui avait un temps cherché à devenir belge (encore pour échapper aux impôts, avaient avancé certains), confie s'être attaché à la Suisse. «Je ne vendrai pas mon chalet de Gstaad. En dehors de toute considération d'argent, je m'y sens bien. Là-bas au moins, on me fout la paix!». Le chanteur, qui vit dans le canton de Berne, n'envisage donc pas de quitter la Confédération même si les avantages fiscaux existants sont menacés, de nombreux cantons étant tenter de suivre l'exemple du canton de Zurich qui les a supprimés. L'artiste admet cependant ne pas passer très souvent dans son chalet. «Je suis en Suisse quand je ne travaille pas. Or je travaille beaucoup», souligne le chanteur, qui possède une propriété à Los Angeles et une maison à Marnes-la-Coquette, qu'il a donnée à son épouse Laeticia.
«Je suis d'accord de payer des impôts, mais il y a une limite. Avant, je versais plus de 70%. Avec ce que j'ai payé dans ma vie, j'aurais pu faire vivre plusieurs familles pendant des générations», a-t-il déploré dans une allusion à la fiscalité tricolore. A titre de comparaison, Johnny Hallyday bénéficie en Suisse, à condition d'y séjourner plus de six mois par an*, d'un «forfait fiscal», payé en lieu et place des impôts ordinaires sur le revenu et la fortune. Sous ce régime, le revenu imposable est égal, au minimum, au loyer annuel de la résidence, multipliée par cinq. L'impôt forfaitaire, dont s'acquittent les titulaires du forfait, atteint au moins un tiers de ce revenu. La situation familiale et le train de vie (jet privé, voitures de luxe, par exemple) entrent aussi en compte.
L'interprète de «Quelque chose de Tennessee», qui avait un temps cherché à devenir belge (encore pour échapper aux impôts, avaient avancé certains), confie s'être attaché à la Suisse. «Je ne vendrai pas mon chalet de Gstaad. En dehors de toute considération d'argent, je m'y sens bien. Là-bas au moins, on me fout la paix!». Le chanteur, qui vit dans le canton de Berne, n'envisage donc pas de quitter la Confédération même si les avantages fiscaux existants sont menacés, de nombreux cantons étant tenter de suivre l'exemple du canton de Zurich qui les a supprimés. L'artiste admet cependant ne pas passer très souvent dans son chalet. «Je suis en Suisse quand je ne travaille pas. Or je travaille beaucoup», souligne le chanteur, qui possède une propriété à Los Angeles et une maison à Marnes-la-Coquette, qu'il a donnée à son épouse Laeticia.